En ce temps là, j’habitais à Bamako, avec mon épouse Fatou, ma fille Alexandra, et la famille de mon ange-gardien Fantamadi, natif de Mansonkolon. En 2013, j’y rencontre Sokona, une enfant de 7 ans, venue de mon village Mansonkolon, mais sourde et muette (parce que jamais vaccinée contre la méningite) … donc illettrée … donc sans aucun avenir dans son propre village, sauf la misère .. Lire la suite
Nous sommes partis vers le Nord le 20 novembre 2015, avec une première halte près de SAN, commune de Dah. nous y avons rencontré les autorités locales, remis notre colis de médicaments essentiels (financement Tapama-Lyon) pour leur Centre de santé. Le lendemain, on se retrouvera tous à Sinzara, pour lancer le projet du centre de santé que nous construirons, et qui portera le nom de Hubert BEIGNON et Jean-Claude VEZIN, deux vieux amis trop tôt disparus, qui animaient ce qui est devenu notre Antenne Tapama-La Roche sur Yon, antenne qui finance entièrement ce projet réalisé en hommage à nos deux amis. Lire la suite
L’antenne Tapama-Lyon finance chaque année des cartons de médicaments essentiels, les plus usités dans les dispensaires de villages. Nous abordons la tranche 1 de cette mission 2015-2016, les colis pour les Centres de santé de Dah (cercle de San), de Soroly ( cercle de Bandiagara), de Bamba (cercle de Douentza), etc …
Après le tournage le 4 mars 2015, le journal de l’ORTM diffusait un reportage sur les dons de matériels de santé de notre ONG Tapama à la Direction Centrale des Services de Santé des Armées [ DCSSA ] du Mali.
La commune de Bamba, et ses 27 villages, situés en partie Nord du pays Dogon, nous avait sollicité pour une aide. Comme à l’accoutumée, nous avions procédé à un sondage par questionnaire auprès de tous les villages, pour apprécier la situation de la commune, donc de chaque village, sur les grands domaines : santé, scolarité, eau, etc … Nous avions alors abouti à un besoin prioritaire en matière de santé qui s’est traduit par la fourniture d’une moto-ambulance.
Depuis des lustres, les femmes de Massonkolon ( cercle de Bafoulabé, région de KAYES) vont au fleuve, à 800 m de leur village, pour diverses activités. Mais l’accès à ce fleuve est si pénible et dangereux, que des vies ont été perdues. Il nous fallait « faire quelque chose ».